Portrait de Radhouane Tiss, fonctionnaire, agriculteur et secrétaire général de l’association Tunisienne de Permaculture. Sur ces 3 hectares de terrain, à Oued el Khil, dans le sud-est tunisien, à une vingtaine de kilomètre au sud de Medenine, Radhouane expérimente des techniques issues de l'agroécologie et de la permaculture depuis 2017.

Vue du village de Oued El Khil dans la région de Tataouine. La région de Tataouine est une région semi-aride qui subit un fort stress hydrique du fait de la faible pluviométrie et de la situation de sécheresse du pays depuis quelques années. D’après un rapport intitulé « Impacts des effets du changement climatique sur la sécurité alimentaire », financé l’Agence Française de Développement (AFD) dans le cadre de la Facilité Adapt’Action , publié en 2021, indique qu’au niveau national, une augmentation des températures (entre +1.5°C et +1.9°C à l’horizon 2050 et entre +1.9°C et +3.9°C à l’horizon 2100) et une diminution des précipitations annuelles (entre -6% et -9% en 2050 et entre -9% et -18% en 2100 par rapport à la période de référence 1981-2010) sont attendues en raison du changement climatique.

Détails de la bergerie qui accueille une quinzaine de chèvres

Radhouane et le gardien du domaiune récoltent les pommes de terre tôt le matin sur sa parcelle.

Vue de l'écodome principale et de la région de oued el Khil.

Des touristes tunisiens venus visiter le domaine de Radhouane font des photos dans la partie de sa parcelle où il expérimente l'agriculture syntropique.

fruit du Tamarinier. Depuis 2017, Radhouane a planté plus de 1000 arbres de variétés différentes tels que citronniers, tamarinier, margousier et paulownia, notamment des espèces qui demandent une faible quantité de besoin en eau.

fruit du Tamarinier. Depuis 2017, Radhouane a planté plus de 1000 arbres de variétés différentes tels que citronniers, tamarinier, margousier et paulownia, notamment des espèces qui demandent une faible quantité de besoin en eau.

Malgré son emploi du temps chargé, Radhouane a mis au cœur de sa démarche la transmission de son savoir-faire. Il ne manque pas une occasion de transmettre gracieusement le fruit de ses expériences notamment aux touristes et randonneurs venus visiter la région.

Sur sa parcelle, Radhouane cultive une espèce d'algue qui permettra de nourrir le bétail, les poules et les animaux du domaine.

Respectueuse de la nature et des écosystèmes existants, cla permaculture va permettre d'augmenter le rendement de la production de légumes et de fruits en utilisant uniquement des engrais naturels, sans avoir recourt à un seul pesticide. La terre est beaucoup plus nutritives pour les différentes cultures.

Dans un des écodôme du domaine, Radhouane stocke les semences traditionnelles de la région et celles échangées avec d’autres agricultures pour les préserver. La majorité des graines sont issues des récoltes précédentes du domaine, des fruits et des légumes comme des tomates, des piments, des carottes ou des melons.

Vue des montagnes environnantes de Oued El Khil. La région de Tataouine est une région semi-aride qui subit un fort stress hydrique du fait de la faible pluviométrie et de la situation de sécheresse du pays depuis quelques années. D’après un rapport intitulé « Impacts des effets du changement climatique sur la sécurité alimentaire », financé l’Agence Française de Développement (AFD) dans le cadre de la Facilité Adapt’Action , publié en 2021, indique qu’au niveau national, une augmentation des températures (entre +1.5°C et +1.9°C à l’horizon 2050 et entre +1.9°C et +3.9°C à l’horizon 2100) et une diminution des précipitations annuelles (entre -6% et -9% en 2050 et entre -9% et -18% en 2100 par rapport à la période de référence 1981-2010) sont attendues en raison du changement climatique.

La région de Tataouine est une région semi-aride qui subit un fort stress hydrique du fait de la faible pluviométrie et de la situation de sécheresse du pays depuis quelques années. D’après un rapport intitulé « Impacts des effets du changement climatique sur la sécurité alimentaire », financé l’Agence Française de Développement (AFD) dans le cadre de la Facilité Adapt’Action , publié en 2021, indique qu’au niveau national, une augmentation des températures (entre +1.5°C et +1.9°C à l’horizon 2050 et entre +1.9°C et +3.9°C à l’horizon 2100) et une diminution des précipitations annuelles (entre -6% et -9% en 2050 et entre -9% et -18% en 2100 par rapport à la période de référence 1981-2010) sont attendues en raison du changement climatique.

Vue des montagnes environnantes de Oued El Khil. La région de Tataouine est une région semi-aride qui subit un fort stress hydrique du fait de la faible pluviométrie et de la situation de sécheresse du pays depuis quelques années. D’après un rapport intitulé « Impacts des effets du changement climatique sur la sécurité alimentaire », financé l’Agence Française de Développement (AFD) dans le cadre de la Facilité Adapt’Action , publié en 2021, indique qu’au niveau national, une augmentation des températures (entre +1.5°C et +1.9°C à l’horizon 2050 et entre +1.9°C et +3.9°C à l’horizon 2100) et une diminution des précipitations annuelles (entre -6% et -9% en 2050 et entre -9% et -18% en 2100 par rapport à la période de référence 1981-2010) sont attendues en raison du changement climatique.